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Dr Francesco Sava, pneumologue
Dr Sava a complété ses études de médecine à l’Université de Montréal en 2006. C’est à cette institution qu’il s’initie à la recherche fondamentale et clinique.
D’abord en santé cardio-vasculaire à l’Institut de Cardiologie de Montréal, où il travaille sur les mécanismes d’agrégation plaquettaire menant aux occlusions artérielles, puis sur les facteurs pro-thrombogènes circulants promouvant la formation des caillots sanguins. Ses travaux lui valent le prix de la recherche du premier cycle de la Faculté de Médecine en 2004 et 2005.
De retour au Québec en 2013, il complète son fellowship postdoctoral à l’Université de Montréal par des travaux sur les maladies pulmonaires professionnelles, en particulier l’asthme, qui peuvent affecter survenir lors d’expositions à divers polluants ou substances au travail. Il a développé une classification clinique d’asthme qui permet une meilleure prise en charge des patients asthmatiques dans leur milieu de travail.
D’abord en santé cardio-vasculaire à l’Institut de Cardiologie de Montréal, où il travaille sur les mécanismes d’agrégation plaquettaire menant aux occlusions artérielles, puis sur les facteurs pro-thrombogènes circulants promouvant la formation des caillots sanguins. Ses travaux lui valent le prix de la recherche du premier cycle de la Faculté de Médecine en 2004 et 2005.
Ensuite, il entreprend une résidence de médecine interne et de pneumologie qu’il complète en 2011. En plus de son travail clinique, il continue de s’intéresser à la recherche médicale, cette fois sur la ventilation mécanique aux soins intensifs coronariens. Il travaille sur un algorithme permettant d’atteindre rapidement des paramètres de ventilation protectrice pour les poumons qui peut être intégré aux composantes informatiques des appareils de ventilation utilisés en clinique.
Parallèlement à sa résidence, il complète une maîtrise en médecine expérimentale lors de laquelle il s’intéresse à l’impact de l’obésité sur un programme de réadaptation pulmonaire et sur la physiologie respiratoire en général.
En 2011, il réoriente ses travaux de recherche vers le sujet qui le passionne et qui sera son principal intérêt jusqu’à aujourd’hui. Il part faire des études post-doctorales (fellowship) à la University of British-Columbia (UBC) à Vancouver, où il se joindra à une équipe qui étudie l’impact de la pollution atmosphérique sur la santé respiratoire, l’exercice, l’asthme et la cognition. Il a remporté la bourse Michael Smith Foundation for Health Research de la Colombie-Britannique qui lui a permis de poursuivre ses travaux.
Là-bas, il travaille sur les effets inflammatoires de la pollution atmosphérique affectants les gens atteints d’asthme en s’intéressant principalement à la susceptibilité génétique et aux changements épigénétiques survenant lors d’une exposition à la pollution atmosphérique liée à la circulation automobile (traffic-related air pollution, TRAP). Il collabore aussi à des travaux sur l’impact du TRAP sur la réponse cardio-respiratoire à l’exercice et sur la cognition.
De retour au Québec en 2013, il complète son fellowship postdoctoral à l’Université de Montréal par des travaux sur les maladies pulmonaires professionnelles, en particulier l’asthme, qui peuvent affecter survenir lors d’expositions à divers polluants ou substances au travail. Il a développé une classification clinique d’asthme qui permet une meilleure prise en charge des patients asthmatiques dans leur milieu de travail.
Il est l’auteur de plusieurs publications scientifiques et chapitres de livre revus par les pairs ainsi que des ouvrages de revue scientifique parus dans divers medias.
Depuis 2014, il est professeur d’enseignement clinique à l’Université de Montréal et à l’Université de Sherbrooke. Il participe à l’enseignement aux résidents et étudiants en médecine au Centre Hospitalier de l’Université de Montréal (CHUM) ainsi qu’à l’Hôpital Charles-Lemoyne. Il a mis sur pied les cliniques d’asthme sévère de ces deux centres où les patients atteints d’asthme sévère et réfractaires aux traitements conventionnels sont pris en charge leur permettant d’avoir accès à des médicaments d’exception dit « biologiques ».
« L’air que vous respirez change votre métabolisme »
Dr Francesco Sava
Pneumologue
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